La jeune pousse Bioscibex, récemment installée sur le site technologique BioArk à Monthey, a franchi une nouvelle étape majeure en décrochant la Phase III du programme Venture Kick, assortie d’un financement de 100’000 CHF. Cette distinction intervient quelques semaines seulement après son entrée remarquée dans le classement du Top 100 Swiss Startups à la 81e place.
Une start-up biotech pleine de promesses
Venture Kick est une initiative philanthropique de référence en Suisse qui offre aux start-up innovantes un soutien financier progressif, un accompagnement entrepreneurial et une mise en relation avec un vaste réseau d’experts et d’investisseurs. Avec cette victoire en Phase III, Bioscibex bénéficie désormais du financement complet du programme, confirmant ainsi son fort potentiel d’innovation et sa trajectoire de croissance solide.
Swingo, une révolution dans la culture cellulaire
Pour répondre à l’un des enjeux les plus critiques de la bioproduction, Bioscibex développe une nouvelle génération de bioréacteurs jetables, conçus pour simplifier et automatiser la culture cellulaire. Son premier produit, Swingo, ramène un processus de sept étapes à seulement deux, réduisant ainsi les risques de contamination, la manutention manuelle et les coûts d’investissement. Adapté aussi bien à la recherche qu’à la production, Swingo couvre une plage de volumes de 30 mL à 30 L. Avec déjà plus de 1 million CHF levés et un vif intérêt de la part de grands acteurs biopharmaceutiques, une commercialisation est prévue en 2026.
Un développement accéléré à BioArk Monthey
Implantée depuis ce début d’année à BioArk Monthey, Bioscibex profite d’infrastructures technologiques de pointe, d’une communauté active en sciences de la vie et du soutien personnalisé de l’incubateur The Ark. « Être basé au BioArk nous permet de bénéficier à la fois d’outils de haut niveau et d’un écosystème biotech dynamique », explique Chloé Albietz, CEO de Bioscibex. « Combiné à l’appui de Venture Kick, cela nous place dans une position idéale pour amener Swingo sur le marché et contribuer à l’avenir d’une bioproduction plus efficace. »
Source : BioArk
